La vaccination de toutes les jeunes filles de 12-13 ans contre les virus HPV16 et 18 entraine une chute drastique de l’incidence des lésions de tous grades chez ces personnes à l’âge de 20 ans, et une baisse de 89% des lésions de haut grade. Ce résultat confirme l’efficacité du vaccin bivalent avec un bénéfice d’autant plus important que la vaccination est précoce. Ces travaux sont parus dans le BMJ[ref]Tim Palmer et al. Prevalence of cervical disease at age 20 after immunisation with bivalent HPV vaccine at age 12-13 in Scotland: retrospective population study. BMJ 2019 ; 365:l1161. https://doi.org/10.1136/bmj.l1161[/ref].

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Source : Le Parisien avec AFP

Le Parisien note en effet que « selon les travaux d’un groupe de chercheurs publiés dans The Lancet Oncology1Simms, Kate T., Julia Steinberg, Michael Caruana, Megan A. Smith, Jie-Bin Lew, Isabelle Soerjomataram, Philip E. Castle, Freddie Bray, et Karen Canfell. « Impact of Scaled up Human Papillomavirus Vaccination and Cervical Screening and the Potential for Global Elimination of Cervical Cancer in 181 Countries, 2020–99: A Modelling Study ». The Lancet Oncology20, no3 (1 mars 2019): 394‑407. https://doi.org/10.1016/S1470-2045(18)30836-2., 13,5 millions de cas pourraient être évités dans les 50 ans à venir. […] En généralisant la vaccination et le dépistage, on peut même envisager de l’éradiquer d’ici à 40 ans dans les pays à très hauts revenus ».

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Source : Agence Nationale de Sécurité du Médicament

Des médicaments à base d’argiles extraites du sol, disponibles sur ordonnance ou en automédication, sont utilisés en traitement symptomatique de la diarrhée aiguë. Cependant, ces argiles peuvent contenir de faibles quantités de métaux lourds présents naturellement dans l’environnement, tels que le plomb.
Parmi ces anti-diarrhéiques à base d’argile, Smecta® et son générique Diosmectite Mylan sont indiqués chez l’enfant de moins de 15 ans. Or, si les résultats d’une étude clinique indiquent qu’il n’existe pas de risque de passage de plomb dans le sang chez les adultes traités par Smecta® pendant 5 semaines, ce risque ne peut être exclu chez les enfants de moins de 2 ans. C’est pourquoi, par mesure de précaution, l’ANSM demande de ne plus utiliser ces médicaments dans cette tranche d’âge (< 2 ans), même si le traitement est de courte durée. Pour la même raison, l’utilisation de Diosmectite n’est pas recommandée chez la femme enceinte ou allaitante.
Si une diarrhée aiguë persiste chez un enfant de moins de 2 ans malgré la mise en place de mesures hygiéno-diététiques, l’ANSM rappelle que le traitement de référence est l’administration de soluté de réhydratation orale (SRO).

Source : Le Figaro

Le Figaro note sur une page que « c’est peut-être le point final de l’une des manipulations scientifiques ayant eu le plus de retentissement sur la santé publique ces dernières années ».
Le journal rappelle qu’« en 1998, une étude menée sur 12 enfants, publiée dans la prestigieuse revue The Lancet, suggérait l’existence d’un lien entre le vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) et l’autisme ».
« Depuis, une dizaine d’études bien plus solides ont été réalisées. Aucune n’a confirmé cette hypothèse. En 2010, sous la pression de la communauté scientifique, The Lancet a d’ailleurs fini par retirer l’article. Pourtant, il est encore régulièrement brandi par les anti-vaccins », observe le quotidien.

Le Figaro explique qu’« une étude de grande ampleur publiée cette semaine dans la revue Annals of Internal Medicine lui tord une nouvelle fois le cou et confirme que le ROR ne déclenche pas l’autisme ».
Le journal relève que « les auteurs, quatre universitaires danois, ont passé en revue les dossiers médicaux de 650.000 enfants nés au Danemark entre 1999 et 2010. Au cours de cette période, 6.500 enfants ont développé des troubles du spectre autistique. Les chercheurs ont alors comparé le nombre d’enfants autistes parmi les vaccinés et les non-vaccinés (au Danemark, la vaccination n’est pas obligatoire) et n’ont trouvé aucune différence ».

Le Figaro observe toutefois que « les anti-vaccins [sont] peu réceptifs aux arguments scientifiques ». Le journal note ainsi que « les scientifiques multiplient les arguments rationnels, persuadés que le rejet provient d’un déficit d’information. La menace n’a pas disparu, rappellent-ils : en France, la rougeole a tué 3 personnes l’an dernier et entraîné près de 640 hospitalisations ».
« Mais à en juger par la montée globale de la défiance envers la vaccination, ces arguments étayés par des décennies d’expériences scientifiques ont peu de portée. […] L’explication serait plutôt à rechercher du côté des valeurs, émotions ou croyances fondamentales de la personne, prééminentes par rapport à ses connaissances factuelles, concluent plusieurs études récentes en psychologie », relève le quotidien.
Le Figaro explique notamment qu’en matière de campagne de sensibilisation, « une équipe scientifique internationale ayant publié dans Front Public Health avance dans ce domaine une piste intéressante. Elle préconise de cibler en premier lieu les enfants et les adolescents, ceux-ci n’ayant pas encore d’a priori sur le sujet, contrairement à leurs parents dont l’opinion, une fois installée, varie peu, même après avoir été exposés à des arguments rationnels ».

« Il s’agit autant d’expliquer comment fonctionnent un vaccin et les principes d’immunité de groupe que de faire de l’éducation aux médias pour les prémunir contre les « fake news » circulant sur les réseaux sociaux », note le quotidien.

De son côté, Libération titre un article : « «Hésitation vaccinale» : et à la fin, c’est la rougeole qui gagne ».
Le journal observe que « la rougeole avait totalement disparu des écrans radar de la prévention médicale du Costa Rica. Mais il a suffi qu’un enfant français de 5 ans, en vacances avec ses parents dans ce pays d’Amérique centrale, soit repéré par les autorités sanitaires de la province de Puntarenas comme porteur de ce virus ultra-contagieux pour relancer le débat sur l’intérêt de la vaccination ».

« Le sujet est d’autant plus d’actualité que début mars, l’Unicef alertait sur la recrudescence «préoccupante» de cette maladie dans le monde et pointait la France comme l’un des dix pays à l’origine des trois quarts de l’augmentation des cas de rougeoles entre 2017 et 2018. Le cas de ce jeune touriste français au Costa Rica souligne les risques collectifs que fait peser la non-vaccination dans le monde », souligne Libération.
Le quotidien rappelle ainsi que « l’OMS a classé l’«hésitation vaccinale» comme l’une des 10 menaces sur la santé mondiale pour 2019. Le nombre de cas signalés ayant bondi de 170.000 en 2017 à 307.000 en 2018 ».

Source : Univadis

Le Slime est une pâte à malaxer gluante et élastique, très à la mode depuis quelques mois chez les enfants et les adolescents. Or, elle n’est pas sans danger. Du 1 er janvier au 15 mai 2018, elle a fait l’objet de 87 signalements auprès des Centres antipoison, contre 91 pour toute l’année 1987. Il s’agit le plus souvent d’irritations et d’allergies cutanées, parfois sévères, se manifestant par des brûlures, rougeurs, eczémas et démangeaisons.

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Source : Mediscoop

Caroline Faillet, « spécialiste du décodage de l’influence numérique », observe que les « fake news » « font l’objet d’un projet de loi en discussion à l’Assemblée. Mais au-delà du seul domaine politique, ces fausses nouvelles contaminent notre vie quotidienne, en particulier la santé où, à force de brouiller les pistes entre fausses peurs et vrais risques, elles peuvent avoir de graves conséquences ».

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Source : Haute Autorité de Santé

Environ 60 à 70% des femmes ne présentent pas de symptôme en cas de chlamydiose génitale, alors qu’il s’agit de l’une des infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes, pouvant entrainer des atteintes génitales. Pour réduire la prévalence de l’infection, la HAS a revu la stratégie de dépistage de cette infection et recommande un dépistage systématique chez les femmes de 15 à 25 ans sexuellement actives.

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Le Mammobile de l’Association « Montpellier-Hérault pour le Dépistage du Cancer du Sein » (A.M.H.D.C.S.) sera présent dans la commune de VALROS (Rue des Mimosas), de 9h00 à 18h00

Le Lundi 22 Octobre 2018 afin d’accueillir les femmes de 50 à 74 ans pour un test gratuit de dépistage du cancer du sein

Source : Mairie de Montblanc

Le Mammobile de l’Association « Montpellier-Hérault pour le Dépistage du Cancer du Sein » (A.M.H.D.C.S.) sera présent dans la commune de PEZENAS (Place du Fronton – Avenue Maréchal Leclerc), de 9h00 à 18h00

Le Mercredi 10 Octobre 2018 afin d’accueillir les femmes de 50 à 74 ans pour un test gratuit de dépistage du cancer du sein

Source : ASSOCIATIONS : PEZENAS – Le Mammobile sera présent le Mercredi 10 Octobre 2018 : Hérault Tribune

A partir du 22 septembre 2018, les gommes à mâcher NICORETTE (nicotine) seront remboursables à 65 %, quels que soient le dosage (2 mg et 4 mg) et l’arôme (fruits, menthe fraîche, menthe glaciale, sans parfum) prescrits. Seuls les conditionnements de 105 unités sont concernés.

Source : VIDAL – NICORETTE (nicotine) : les gommes à mâcher remboursables à partir du 22 septembre (boîtes de 105) – Actualités

NB : une consultation avec votre médecin traitant est nécessaire pour bénéficier de cette prescription.

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