Le #MoisSansTabac est maintenant terminé, mais si vous avez loupé le coche et que vous envisagez un arrêt prochain de la cigarette, sachez qu’il nous reste un grand nombre de Kits « Mois sans Tabac ».

Ces kits ont pour objectif d’accompagner pendant un mois les personnes qui souhaitent arrêter de fumer, peu importe finalement le moment que vous choisissez pour réaliser ce défi.

Pourquoi un défi d’un mois ? Car on considère qu’une fois le premier mois d’arrêt passé, le plus dur est fait.

Ce kit comprend donc :

  • Le guide « Je me prépare » pour faire le point sur la dépendance, la motivation et les différentes méthodes d’arrêt avant de se lancer.
  • « L’agenda, 30 jours pour arrêter de fumer » qui dispense chaque jour encouragements, conseils et activités pour oublier la cigarette.
  • Le dépliant « Le stress ne passera pas par moi » pour permettre de surmonter les envies de fumer grâce à des exercices de respiration ;
  • Un disque pour calculer les économies réalisées en fonction de sa consommation quotidienne ;

Vous pouvez venir récupérer gratuitement ce kit pour vous ou pour un proche auprès de notre secrétaire Céline, du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30.

Source : Le Quotidien du Médecin

« Il ne faut pas se tromper d’ennemi ! », considère l’Académie nationale de médecine au sujet de la cigarette électronique. L’épidémie américaine de pneumopathies associées à l’utilisation de la cigarette électronique, liée à un détournement de son usage, ne doit pas faire oublier que la cigarette est bien plus dangereuse, et que le vapotage aide au sevrage tabagique, estime l’Académie. Selon Santé publique France, 700 000 fumeurs ont arrêté grâce à la cigarette électronique en France.

« Cette crise de confiance pourrait causer la mort de milliers de fumeurs alors que le tabac tue la moitié de ses fidèles consommateurs », déplore l’Académie.

En 2015, l’Académie s’était prononcée en faveur d’une e-cigarette « médicament » et avait émis plusieurs recommandations. Elle préconisait notamment d’interdire la vente aux mineurs et de déclarer les substances présentes dans les e-liquides. « C’est le cas aujourd’hui en France où les cigarettes électroniques relèvent de normes de qualité et de sécurité, à l’inverse des États-Unis », souligne l’Académie.

Pour elle, c’est ce manque de réglementations qui facilite les mésusages. Les cas américains de pneumopathies sont en effet liés à des contenus nocifs utilisés avec la e-cigarette. L’Académie exhorte ainsi à ne pas confondre le contenant et le contenu.

Plus efficace que les substituts nicotiniques

Dans ce contexte, et alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a également semé le trouble cet été en qualifiant la e-cigarette et les systèmes de délivrance électronique de nicotine de produits « indubitablement nocifs », l’Académie réaffirme sa position. Elle rappelle que la Haute Autorité de santé considère la e-cigarette comme un outil d’aide à l’arrêt du tabac et qu’un essai randomisé britannique publié début 2019 dans « The New England Journal of Medicine » a par ailleurs montré sa supériorité par rapport aux substituts nicotiniques.

L’Académie incite ainsi les fumeurs qui souhaitent passer au vapotage à ne pas hésiter à le faire.

On sait déjà depuis longtemps que le tabac est mauvais pour la fonction érectile sur le long terme, par le biais de l’effet athérogène de la fumée de cigarette qui entraîne des plaques qui « bouchent Â» les artères aussi bien au niveau du système vasculaire coronarien, responsable de la vascularisation du coeur, que sur les artères péniennes, responsables de la vascularisation de la verge et du mécanisme de l’érection. 

Mais, les études montrent que la cigarette agit aussi de manière négative sur la sexualité par d’autres mécanismes, y compris à très court terme, et que le fait de fumer potentialise de façon très importante le risque de souffrir de troubles érectiles lorsqu’ils sont associés à d’autres pathologies délétères pour la fonction sexuelle.

Pour lire l’article d’origine sur le site du Dr ZELER consacré à la santé sexuelle, suivez ce lien :

Effets du tabagisme sur la sexualité masculine

Du 1er au 30 novembre, c’est le #MoisSansTabac, un défi collectif qui propose à tous les fumeurs d’arrêter pendant un mois, avec le soutien de toutes les personnes qui se sentent concernées.

  • Un mois, parce que si vous arrivez à tenir un mois, alors le plus dur aura été fait.
  • Un défi collectif, parce que arrêter de fumer ensemble, en équipe, et se sentir soutenu, améliore les chances d’arrêter.

Si vous souhaitez arrêter de fumer, créez-vous un compte sur le site #MoisSansTabac, et commandez votre Kit pour arrêter de fumer (contenant le livret « Je me prépare » pour préparer l’arrêt et marquer un top départ dans l’arrêt définitif du tabac, l’agenda « 30 jours pour arrêter de fumer » avec des encouragements quotidiens, des conseils et des activités pour oublier la nicotine, la carte « Le stress ne passera pas par moi » pour surmonter les envies de fumer et #MoisSansTabac).

Vous pouvez également demander votre Kit à votre médecin traitant ou à notre secrétariat

(nombre de Kits limités, à réserver en priorité aux personnes qui ont du mal à commander leur Kit via le site #MoisSansTabac)

Si vous souhaitez soutenir un proche ou montrer votre soutien aux personnes qui souhaitent arrêter, Invitez vos amis à participer au #MoisSansTabac.

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En raison du pont de l’ascension, le Cabinet Médical de Montblanc sera fermé :

  • jeudi 15 aout
  • Vendredi 16 aout
  • Samedi 17 aout
  • Dimanche 18 aout

Si vous avez besoin d’une consultation qui ne peut pas attendre lundi 19 aout, vous pouvez vous rendre à la maison médicale de garde qui sera ouverte jeudi 15, vendredi 16, samedi 17 et dimanche 18 aout de 8h00 à minuit. Vous serez reçu par le médecin généraliste d’astreinte.

Vous pouvez joindre la maison médicale de garde au 04 67 31 77 21

Maison Médicale De Garde, 3201 Rue Dimitri Amilakvari, 34500 Béziers, France (juste en face de l’entrée des Urgences du Centre Hospitalier de Béziers)

En cas d’urgence, il faut appeler le 15 qui vous adressera au service adéquat.


Le Point se penche sur la cigarette électronique : « Un remède miracle au tabagisme ? Rien n’est moins sûr. Une étude récente [parue dans le Journal de l’American College of Cardiology] pointe [sa] dangerosité […]. En cause, les arômes, qui endommageraient nos cellules et augmenteraient les risques de maladies cardiovasculaires ».

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Pour cette nouvelle Journée mondiale sans tabac, l’OMS interpelle sur la santé pulmonaire. Un argument de poids pour inciter à arrêter de fumer. En France, les campagnes anti-tabac et le prix du paquet de cigarette portent progressivement leurs fruits. Le nombre de fumeurs ne cesse de baisser mais reste néanmoins élevé avec un quart des adultes de 18 à 75 ans qui fument quotidiennement. Le BEH publie ces chiffres.

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Source : Effic’Asthme : premier serious game destiné à la gestion des enfants asthmatiques | Paris Descartes

Effic’Asthme est un simulateur virtuel destiné aux parents d’enfants asthmatiques. Il a été mis au point grâce au travail conjoint du laboratoire de simulation en santé Ilumens (université Paris Descartes) et d’une centaine de familles rassemblées par l’artisan principal du projet : le Dr David Drummond, chef de clinique assistant à l’hôpital Necker Enfant malade (Paris). Des pneumologues issus de ce même hôpital ont quant à eux fourni le contenu médical et scientifique.

Effic’Asthme dispose d’un espace d’accueil où les parents peuvent « customiser » un avatar pour qu’il ait l’âge, le poids, l’apparence et les caractéristiques cliniques de leur enfant. Ils indiquent aussi quel est le traitement de fond et le traitement d’urgence à leur disposition.

Lors de chaque scénario, le parent doit reconnaître les symptômes de la crise, déterminer la conduite à tenir et administrer les médicaments appropriés avec la bonne technique. Un carnet de crise d’asthme permet de suivre l’évolution de la pathologie, et l’application est également dotée d’un algorithme qui permettra au médecin traitant ou au pneumologue de voir d’un seul coup d’Å“il quelles sont les étapes précises de la réponse à la crise d’asthme au sujet desquelles des conseils d’éducation thérapeutiques sont nécessaires.

Cette application est née d’un constat : « En faisant faire des tests à des familles très éduquées et très impliquées dans la prise en charge de l’asthme de leur enfant, on constate qu’ils font des erreurs dans 50 % des scénarios,explique le Dr Drummond. Il y a donc de la marge d’amélioration, alors que dans le même temps, seulement 2 familles de patient su 1 000 en moyenne ont recours à l’éducation thérapeutique du patient via les écoles de l’asthme, notamment pour des questions de disponibilité et d’éloignement. »

De nouveaux scénarios seront débloqués à mesure que l’utilisateur progresse dans l’application. Les médicaments proposés sont ceux dont dispose les parents dans leur vie de tous les jours. Plusieurs options sont possibles : agripper le téléphone pour appeler les urgences pneumologiques, administrer le médicament de fond ou le médicament d’urgence, ou tout simplement attendre. Le vice du réalisme est poussé jusqu’à bloquer la libération du traitement d’urgence si l’on a oublié de retirer le capuchon de l’inhalateur. En cas d’échec complet, un module de correction dynamique prend le relais et guide l’utilisateur pas à pas.

Lien vers l’application iOS : https://itunes.apple.com/fr/app/efficasthme/id1400814236

Lien vers l’application Android : https://play.google.com/store/apps/details?id=fr.parisdescartes.efficasthme&hl=fr


Source : Arrêt maladie : pas de voyage sans autorisation, rappelle la Cour de cassation

Le salarié en arrêt maladie doit respecter un certain nombre de règles du code de la sécurité sociale, comme le fait d’être présent à son domicile à certains horaires de la journée. Une autre de ces règles, moins connue, est l’interdiction de quitter la zone de compétence de sa caisse d’assurance maladie sans autorisation préalable de celle-ci. C’est ce qu’a rappelé la deuxième chambre civile de la Cour de cassation dans un arrêt rendu le 9 mai dernier…


Source : Les echos

 

Eric Le Boucher constate dans Les Echos qu’« à l’heure d’Internet, où l’on a accès aux meilleures connaissances, c’est la déraison qui l’emporte chez les anti-vaccins, précipitant le retour d’épidémies comme la rougeole ».

L’éditorialiste écrit ainsi : « En plus de la fracture sociale, s’ajoute dans les sociétés modernes actuelles une fracture de la raison, encore plus alarmante. D’un côté, la civilisation offre à tous la connaissance par l’accès d’un clic aux meilleurs savants et de l’autre se propagent le délire, le complotisme, les peurs frénétiques et une fraction croissante des individus est adepte de pensées magiques et tentée par le n’importe quoi ».

« Un n’importe quoi scientifique aux conséquences les plus graves. Internet, outil de la raison, a changé de camp pour celui de la déraison avec des conséquences qui sont devenues menaçantes pour l’humanité », poursuit-il.

Eric Le Boucher rappelle que « l’OMS s’alarme d’une augmentation des cas de rougeole de 300% dans le monde au premier trimestre de 2019 par rapport à l’an passé et de 700% en Afrique. On a relevé près de 700 cas de rougeole aux Etats-Unis depuis 2000. En France, il y aurait eu 23 décès entre 2008 et 2018, selon une étude de l’Inserm ».

« Le vaccin contre la rougeole existe depuis un demi-siècle, il est sûr, sans danger et pas cher. Pourtant, la maladie a tué encore 135.000 personnes en 2018 dans le monde, la majorité des enfants de moins de 5 ans », souligne le journaliste.

Il ajoute que « le taux de personnes vaccinées contre la rougeole (deux injections) doit atteindre 95% pour que le virus soit bloqué dans sa propagation et régresse. Nous ne sommes au niveau mondial moyen qu’à 85%. On ne gagne plus sur les maladies. Les épidémies augmentent et se renforcent en gravité. L’OMS l’explique par la persistance de zones à faible vaccination en Afrique et, ce qui est nouveau, par un relâchement de la vigilance à l’égard de la maladie dans les pays développés et par la diffusion de fausses informations sur les vaccins », continue Eric Le Boucher.

Il souligne que « la vaccination est un immense progrès médical, toutes les études scientifiques vont dans son sens, aucune de sérieuse ne les contredit. Mais la défiance s’accroche par deux fils magiques. Un, la «nature», elle, ne ment pas. Les maladies infantiles sont bénignes, elles ne seraient que l’apprentissage de la vie, la vaccination est plus dangereuse car n’est pas «naturelle» ».

« Deuxième fil : on ne peut pas imposer à quelqu’un de prendre le risque d’attraper la maladie par la vaccination ou de subir des complications, chacun doit être libre de choisir le vaccin ou pas. Ce dernier argument ne tient pas puisqu’il faut que l’ensemble d’une population soit vaccinée […] et que la «liberté» individuelle met en cause celle des autres. Mais, dans les années 2000, le thème a poussé les gouvernements à mollir et à rendre simplement «incitatives» les politiques de certaines vaccinations », remarque Eric Le Boucher.

L’éditorialiste note cependant qu’« Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a tiré les conclusions de la recrudescence des maladies contagieuses. Le 1er janvier 2018, elle a transformé 8 vaccinations de «recommandées» à «obligatoires». […] En Allemagne, le même débat s’est ouvert, le ministre de la Santé voulant abandonner la politique d’incitation pour l’obligation avec amende en cas de non-respect ».

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