L’épidémie de Coronavirus est passée au stade de pandémie mondiale depuis le 11 mars, et le stade 3 de lutte contre le COVID-19 (fermeture de tous les lieux non indispensables recevant du public) a été déclaré en France depuis hier soir.

Le cabinet reste ouvert

Bien entendu, le Cabinet Médical de Montblanc reste ouvert, et nous ferons le nécessaire pour voir tous les patients le nécessitant. Notre équipe sera complétée si besoin par le Dr PONCET qui pourra venir en renfort.

Afin de pouvoir nous concentrer sur cette épidémie, et pour éviter des risques inutiles de contamination, nous demandons aux personnes en bonne santé, qui ont besoin d’un simple renouvellement, ou qui consulteraient pour une question médicale non urgente, d’envisager de différer leur demande de consultation et de privilégier les téléconsultations, que nous allons prochainement mettre en place.

*** A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles : Vous pouvez faire renouveler votre traitement chronique directement auprès de votre pharmacien ***

Pour les autres, merci de bien lire le reste de cet article.

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Mars bleu est le mois de la mobilisation contre le cancer colorectal, piloté par le Ministère de la santé et l’Institut nationale du cancer (Inca). L’opération vise à sensibiliser la population et les professionnels de santé à l’importance du dépistage.

Le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus meurtrier en France avec plus de 17 000 décès par an.

Il entraîne également une altération de la qualité de vie : douleurs, altération de l’image de soi, difficultés à s’alimenter, retentissement sur le plan sexuel, anxiété, troubles du sommeil etc…

Détecté tôt, le cancer colorectal peut être guéri dans neuf cas sur dix.

Malheureusement, alors que le programme national de dépistage du cancer colorectal s’adresse aux 17 millions de Français de 50 à 74 ans ne présentant ni symptômes ni facteurs de risque, le taux de participation n’était que de 32,1 % sur la période 2017-2018 (selon Santé publique France).

Le mois de sensibilisation vise à mobiliser professionnels de santé et grand public autour du dépistage. L’enjeu est important : avec un taux de participation au dépistage organisé de 65 %, près de 5 700 cancers colorectaux et 6 600 décès pourraient être évités.

Pendant tout le mois de mars, six courtes chroniques audio seront diffusées à la radio et sur les réseaux sociaux. Chacune d’elles s’articule autour d’une thématique telle que le rôle des centres régionaux de coordination des dépistages des cancers (CRCDC) et les raisons de se faire dépister.

Les personnes ciblées par le dépistage organisé sont invitées à se faire dépister tous les 2 ans à l’aide d’un test immunologique, fiable et performant, à réaliser à domicile et qui permet de repérer le cancer à un stade précoce ou bien des polypes qui pourront être retirés avant de devenir cancéreux.

Source : Le Quotidien du médecin

 

La campagne de prise en charge de la vaccination contre la grippe saisonnière, qui devait se terminer le 31 janvier, est prolongée jusquÂ’au 29 février 2020.

Les données de surveillance épidémiologique montrent à fin janvier que l’épidémie de grippe saisonnière touche désormais toutes les régions de France métropolitaine et les Antilles.
En comparaison avec les deux saisons précédentes, l’épidémie de grippe s’installe plus tardivement et le pic épidémique devrait être atteint d’ici 4 à 5 semaines.

Le délai pour qu’une personne vaccinée soit immunisée étant d’environ 2 semaines, il est encore temps, pour les personnes éligibles, de se faire vacciner.
C’est la raison pour laquelle la campagne de prise en charge de la vaccination contre la grippe est prolongée jusqu’au 29 février 2020.

Les imprimés de prise en charge du vaccin antigrippal seront donc valables jusqu’à cette date.

Par le Dr Sophie Florence (Paris)

Interdire les écrans pour les enfants de moins de 3 ans, les écrans 3D pour les moins 5 ans et ne pas regarder d’écran une heure avant l’endormissement ainsi qu’accompagner la consommation d’écran et trouver un équilibre entre autorisation et interdiction et autres activités sont les recommandations du Haut Conseil de la santé publique. Les auteurs ont réalisé une revue de la littérature, une analyse critique des recommandations françaises et émis de nouvelles recommandations.

Le constat est que les écrans font aujourd’hui partie du quotidien. L’analyse de la littérature montre des effets sur le sommeil qui sont plus importants si le temps d’utilisation augmente. En revanche, ce sont les comportements associés qui sont responsables de l’augmentation du surpoids : prises alimentaires augmentées, temps de sommeil réduit et qualité de sommeil altérée.

Il n’y a pas de consensus sur l’effet des écrans sur le développement cognitif de l’enfant et ses apprentissages, et sur les troubles de la santé mentale. Les chercheurs font aussi état d’un risque significatif lorsque les enfants et les adolescents ont accès à des contenus sexuels et pornographiques, ou violents. Ils retrouvent aussi que les écrans peuvent avoir des effets positifs dans des situations précises avec des différences de comportements en fonction des catégories sociales.  

Au vue de cette analyse, les recommandations sont les suivantes :

  • Interdire les écrans pour les enfants de moins de 3 ans et les écrans 3D pour ceux de moins 5 ans. Il est recommandé de ne pas disposer d’écran dans la chambre des enfants et de ne pas les laisser regarder la télévision une heure avant l’endormissement.
  • Accompagner la consommation d’écran en fonction des écrans (tablette, télévision, jeu vidéo…) et des catégories d’âge.
  • Trouver un équilibre entre autorisation et interdiction et consacrer du temps aux autres activités.

Pour les parents et les encadrants, il faut être capable de repérer les signes d’alerte d’une utilisation excessive des écrans et demander aide et conseil à celles et ceux qui connaissent les risques du numérique. Enfin les auteurs soulignent les nombreuses incertitudes scientifiques et insistent sur le besoin de développer la recherche. 

Référence :
HCSP
Analyse des données scientifiques : effets de l’exposition des enfants et des jeunes aux écrans
Janvier 2020
Télécharger le rapport

Source : Le Figaro

Le Figaro revient sur « le «Dry January» à la française [qui] avait démarré sous les critiques, sans aide des autorités ».

Le journal rappelle que ce « «défi» [est] né outre-manche : l’opération a été lancée en 2013 par Alcohol Change UK, une fondation qui revendique ne pas être «contre l’alcool» mais espérer «un avenir dans lequel les gens boivent par choix conscient, et non par défaut» ».
Le quotidien souligne qu’« en France, pays de la bonne chère et du bon vin, les autorités sanitaires qui devaient porter l’opération ont brutalement fait marche arrière. Le projet «n’avait pas été validé par le ministère de la Santé», expliquait le 21 novembre la ministre de la Santé, Agnès Buzyn. Les associations avaient dénoncé le lobby des alcooliers, et un gouvernement plus sensible aux difficultés de la filière viticole qu’aux enjeux de santé publique ».

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Source : Le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire

Par Mme Aude Rambaud (Saint-Germain-en-Laye)

L’exposition matinale aux écrans avant l’école et le fait pour un enfant âgé de trois à six ans de ne pas parler du contenu regardé, exposent à un risque de troubles du langage. C’est ce qu’indique une étude cas-témoin menée en Ille-et-Vilaine récemment parue et dont les résultats sont relatés dans le dernier numéro du Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire.

Les enfants exposés aux écrans le matin avant l’école et qui discutent rarement, voire jamais, du contenu des écrans avec leurs parents multiplient de trois à six leur risque de développer des troubles primaires du langage. C’est ce qu’indique une étude française parue en 2019 et reprise dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire.
Il s’agit d’une étude multicentrique cas-témoins dont l’objectif était d’évaluer le lien entre l’exposition des enfants aux écrans, tels que la télévision, l’ordinateur, la console de jeux, la tablette ou le smartphone, et les troubles primaires du langage.

Elle a inclus 167 enfants âgés de 3,5 à 6,5 ans, nés entre 2010 et 2012 et diagnostiqués avec des troubles primaires du langage, ainsi que 109 sujets témoins ne présentant pas de trouble du langage. Les questionnaires ont été complétés par les parents, recrutés via 16 cabinets de médecine générale et 27 cabinets d’orthophonistes en Ille-et-Vilaine.

Les auteurs ont constaté que les cas (44,3%) et les témoins (22,0%) qui étaient exposés aux écrans le matin avant l’école étaient trois fois plus à risque de développer des troubles primaires du langage (OR 3,40, IC95% [1,60-7,23]). Et lorsque ce risque était associé au fait de discuter rarement, voire jamais, du contenu des écrans avec leurs parents (ORa=2,14 [1,01-4,54]), ils étaient six fois plus à risque de développer des troubles primaires du langage (OR 5,86 [1,44 – 23,95]).

Référence :
Manon Collet et al.
L’exposition aux écrans chez les jeunes enfants est-elle à l’origine de l’apparition de troubles primaires du langage ? Une étude cas-témoins en Ille-et-Vilaine.
BEH N°1 / 2020.


Le journal Le Parisien observe que « l’inquiétude grandit face à l’impact des écrans sur les plus jeunes. Une étude de l’université de Rennes, présentée ce mardi par Santé publique France, établit que les petits qui regardent les écrans le matin ont trois fois plus de risque de développer des troubles du langage. Pire encore : si l’enfant ne parle pas de ce qu’il voit à l’écran avec ses parents, le risque est multiplié par six ».

Le quotidien relève notamment que « l’étude inédite montre que la durée n’est pas une question essentielle. «Peu importe le temps, explique l’autrice Manon Collet, médecin généraliste dans le bassin rennais. Le problème, c’est l’exposition dès le lever.» ».

Une hausse faramineuse des troubles du langage, de l’apprentissage, du comportement et relationnels

Lise Barthélémy, pédopsychiatre, note pour sa part : « Les écrans, le matin, les excitent toute la journée. En consultation, je vois des petits agités, des comportements brouillés ». Elle évoque « une hausse faramineuse des troubles du langage, de l’apprentissage, du comportement, relationnels. Parfois, je ne sais pas quel enfant j’ai devant moi ».

Le Parisien indique que « Michel Desmurget, docteur en neurosciences à l’Inserm, […] met en garde sur la consommation numérique qui « rend bête » nos enfants. La liste des risques, nous dit-il, est sans fin. Tous les piliers du développement sont affectés ».

Dans un entretien, le spécialiste souligne : « On sait déjà que l’exposition aux écrans, qui atteint aujourd’hui un niveau stratosphérique, favorise les troubles du langage. Mais cette étude est l’une des premières à montrer leur impact le matin. Ce temps d’échange, avant l’école, est essentiel autour du petit-déjeuner. Plus on parle à l’enfant, plus son intelligence va se développer ».

« En le mettant devant un écran, vous le privez d’une discussion quotidienne. Ce sont des milliers de mots qu’il n’apprendra pas. Si vous échangez beaucoup avec lui, il connaîtra 1100 à 1200 mots, à 3 ans, si vous parlez peu, seulement 500 », poursuit-il.

Michel Desmurget ajoute que « d’autres études ont montré que ce retard était ensuite plus difficile à rattraper. Ne faites pas peur aux parents, je ne dis pas que c’est impossible. Mais le déficit de départ tend à croître avec le temps et à donner un lexique et une syntaxe plus pauvre. Si vous touchez au langage, vous touchez au cÅ“ur de l’intelligence humaine ».

Il constate qu’« on est en train de faire du mal à toute une génération de gamins nés après 2000. En France, ils sont 750.000 à 800.000, âgés de 4 à 10 ans, à être encore devant la télé à 22h30 ! J’ai comparé les versions de 1962 et de 2006 du Club des 5 et du Trésor de l’île. En 40 ans, 40% du vocabulaire a disparu ».

Zéro écran jusqu’à 6 ans

Le Parisien demande : « Pas d’écran avant 3 ans comme le disent les autorités de santé, c’est donc la règle absolue ? ».

Michel Desmurget répond que « cette limite d’âge est une jolie arnaque marketing. […] En réalité, les écrans sont aussi délétères à 2 ans qu’à 4 ans. Qu’importe leur âge, les enfants ne doivent pas être exposés à la télé, aux tablettes, aux smartphones. Pour moi, c’est zéro écran jusqu’à 6 ans. La liste des risques est longue comme le bras : problèmes de langage, d’attention, de mémorisation, d’obésité. On est face à un problème majeur de santé publique ».

De son côté, Libération titre : « Les écrans coupent-ils la parole aux plus petits ? ».

Le journal remarque ainsi : « Et vlan, une pierre de plus dans le jardin de ceux qui crient aux dangers des écrans pour les enfants, quand ils ne pronostiquent pas carrément une Fabrique du crétin digital tel Michel Desmurget, docteur en neurosciences à l’Institut des sciences cognitives de Lyon ».

Le quotidien explique aussi que « conduite par une équipe de Rennes (Université, Inserm, Santé publique France), une étude rendue publique ce mardi par le Bulletin épidémiologique hebdomadaire le pointe : les enfants exposés aux écrans le matin avant l’école et qui discutent rarement voire jamais du contenu de ces écrans avec leurs parents multiplient par six leur risque de développer des troubles primaires du langage ».

Libération retient que « cette étude, après avoir établi une mauvaise «connexion» entre exposition aux écrans (notamment le matin, car l’enfant épuiserait alors son attention, et serait moins apte aux apprentissages de la journée) sans discussion avec les parents sur le contenu de ces écrans et troubles primaires du langage, évoque un «problème de santé publique» ».

Source : Le Figaro

Reprendre une activité sportive fait généralement partie des bonnes résolutions de début d’année. Et à condition de respecter certains principes de précaution essentiels, voilà indiscutablement une très bonne idée.

Le Figaro remarque ainsi que « les bienfaits de l’activité physique sont indéniables, mais certaines précautions s’imposent si l’on a plus de 35 ans et que l’on n’a pas pratiqué depuis longtemps ».

Le Dr Patrick Audouy, médecin du sport à Paris, explique que « d’abord, il vous faut choisir une activité que vous aimez ou qui vous attire. Sinon, on ne s’y tiendra pas. Ensuite, il faut en parler avec votre médecin, qui réalisera un bilan de base et pourra vous donner des conseils adaptés à votre état de santé ».

Le médecin ajoute que « ce n’est pas parce qu’on reprend le sport avec des amis que l’on est dans le même état physiologique. Le danger c’est de vouloir forcer ».

Damien Mascret souligne qu’« il faut […] prendre au sérieux l’apparition de symptômes cardiaques tels qu’une douleur dans la poitrine, une sensation de malaise ou la survenue de palpitations, que ce soit pendant ou après l’effort. Il faut alors s’arrêter et consulter son médecin, même si ces symptômes disparaissent ».

Le journaliste note qu’« au Club des cardiologues du sport (CCS), c’est dès 35 ans pour les hommes et 45 ans pour les femmes que l’on recommande de faire un bilan médical (avec notamment un ECG de base, voire une épreuve d’effort) avant de reprendre une activité intense ».

Il indique en effet que « le risque d’infarctus augmente transitoirement pendant l’activité physique. C’est ainsi que 5% des infarctus qui frappent les 35-65 ans surviennent lorsqu’ils font du sport, notamment un jogging. Mais, d’un autre côté, faire régulièrement du sport réduit globalement ce risque. Un petit paradoxe ».

Damien Mascret ajoute que « si l’on est déclaré «apte» au sport, encore faut-il le faire bien. Dans un livre pratique qui sortira en février, J’aime pas courir. Mon guide pour bouger sans m’abîmer (Éditions du Rocher), le Dr Bernadette de Gasquet, médecin et professeur de yoga, passe en revue les erreurs à ne pas faire pour cueillir les fruits d’une «mobilité bienfaisante» ».

La médecin indique en effet que « ne pas bouger est néfaste, mal bouger l’est tout autant ». Damien Mascret explique : « Le Dr Gasquet, qui a formé à sa méthode posturale des centaines de kinésithérapeutes, médecins, éducateurs sportifs à travers l’institut qui porte son nom, insiste évidemment sur l’importance d’avoir une «position juste». Ce qui revient aussi à se grandir pour garder la ligne des épaules éloignée de celle des hanches ».

La praticien précise qu’« avoir une position juste, cela signifie se placer de façon à ce qu’il y ait la plus grande distance entre chaque vertèbre, et cela dans toutes les directions (au-dessus, en dessous, sur les côtés, NDLR) ».

« Voilà pourquoi, par exemple, nager la brasse n’est guère bien vu », poursuit Damien Mascret. Le Dr Gasquet remarque ainsi que « la colonne cervicale est en hyperextension et on ne travaille pas les abdominaux et les muscles antigravitaires (notamment ceux qui aident à se tenir debout bien tonique). En revanche, l’aquagym fait travailler ces muscles, sans surcharger les articulations ».

Le « mois sans alcool » ou « Dry January » a commencé ce premier janvier, soutenu par les associations de prévention des addictions ((Fédération addiction, Fonds Actions Addictions, Fédération française d’addictologie, France Patients Experts Addictions, Société française d’alcoologie, SOS Addiction, etc.)) et par des acteurs tels qu’Aides, France Assos Santé, la Ligue contre le cancer, la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE) mais aussi des mutuelles.

Ce « mois sans alcool » devait être une action menée par l’agence Santé Publique France, jusqu’à ce que l’initiative soit annulée par le président Emmanuel Macron. Repris à leur compte sur les réseaux sociaux par les associations avec le mot-clé #LeDéfiDeJanvier et les pages Facebook et Twitter @fr_dry, le Dry January propose aux volontaires de ne pas boire d’alcool pendant le mois de janvier, après les excès des fêtes de fin d’année.

Il est possible de s’inscrire, via le site internet, pour recevoir des astuces, conseils et témoignages servant à motiver les participants à prendre du recul vis-à-vis de leur consommation d’alcool tout au long de l’année. Le site met aussi à disposition du matériel (flyers, affiches…) pour tous les professionnels de santé qui souhaitent participer.

Selon une évaluation menée auprès des participants britanniques du Dry January, 71 % d’entre eux affirment avoir un sommeil de meilleure qualité, 70 % ont ressenti un regain d’énergie, 57 % affirment avoir amélioré leur concentration et 58 % estiment avoir perdu du poids. Au-delà de ce mois passé sans boire d’alcool, les jours de consommation lors des mois qui ont suivi sont passés de 4 à 3 jours/semaine, avec une diminution d’un verre par jour.

Voici le planning des médecins présents en cette période de fin d’année 2019 :

  • Lundi 16 décembre : Dr TAURIL, Dr MARIOTTE, Dr ZELER, Dr CADARS
  • Mardi 17 décembre : Dr TAURIL, Dr MARIOTTE, Dr CADARS, Dr JASTROWICZ
  • Mercredi 18 décembre : Dr TAURIL, Dr MARIOTTE, Dr ZELER, Dr PONCET (demander un rdv avec le remplaçant du Dr CADARS)
  • Jeudi 19 décembre : Dr TAURIL, Dr CADARS, Dr JASTROWICZ
  • Vendredi 20 décembre : Dr TAURIL, Dr CADARS, Dr JASTROWICZ
  • Samedi 21 décembre : Dr GONZALEZ (au cabinet médical de saint Thibery)
  • Lundi 23 décembre : Dr TAURIL, Dr CADARS
  • Mardi 24 décembre : Dr TAURIL, Dr CADARS
  • Mercredi 25 décembre : cabinet fermé, maison médicale de garde de Beziers ouverte de 8h00 à 00h00
  • Jeudi 26 décembre : Dr TAURIL, Dr CADARS, Dr PONCET (demander le remplaçant du Dr JASTROWICZ)
  • Vendredi 27 décembre : Dr TAURIL, Dr CADARS, Dr PONCET (demander le remplaçant du Dr JASTROWICZ)
  • Samedi 28 décembre : Dr TAURIL
  • Lundi 30 décembre : Dr MARIOTTE, Dr PONCET (demandez le remplaçant du Dr CADARS)
  • Mardi 31 décembre : Dr MARIOTTE, Dr JASTROWICZ, Dr PONCET (demandez le remplaçant du Dr CADARS)
  • Mercredi 1er janvier : cabinet fermé, maison médicale de garde de Beziers ouverte de 8h00 à 00h00
  • Jeudi 2 janvier : Dr MARIOTTE, Dr JASTROWICZ, Dr PONCET (demandez le remplaçant du Dr CADARS)
  • Vendredi 3 janvier : Dr MARIOTTE, Dr JASTROWICZ, Dr PONCET (demandez le remplaçant du Dr CADARS)

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